Andalucia J5 (217km) Pêche Miraculeuse

La nuit s’est plutôt bien passée, pas trop de bêtes (à part celle de la tente d’à côté comme d’hab) mais quand même une grosse chaleur à laquelle on ne s attendait pas. Il est bien ce cinco estrellas, café-madeleines pour le petit dej en forêt!

20110929-102930.jpgLa descente de la montée impossible d’ hier se passe mieux que prévu et on rejoint rapidement la route vers Embalse de Guadalhorce, un lac turquoise dont la couleur rappelle celui de Mediano.

20110929-102939.jpg

20110929-102949.jpg

On traverse la très belle Sierra de los Merinos avant de rejoindre Ronda, berceau de la tauromachie et ville musée et romantique, un peu trop pour notre jeune couple d’ ailleurs. La (vieille) ville est très belle mais parait un peu trop propre presque artificielle, impossible de se garer où que ce soit en plus, même en 2roues…après un petit tour on déjeune sur la belle place de l hôtel de ville avant de mettre les voiles vers la mer.

20110929-102957.jpg
Encore de beaux paysages sauvages sur l itinéraires entrecoupés de villages blancs accrochés aux Sierras.
Les derniers km se font sur l autopiste pour gagner un peu de temps et parce qu il fait un bon 35 degrés
A l arrivée sur Cadiz, gros bouchons pour accéder à la presqu’ile, puis le boulevard central parallèle au front de mer qui a autant de charme que Palavas. Arrivés finalement dans la vieille ville on se met en quête d’ un hôtel, les premiers sont complets (mais oú sont ces gens la ville semble vide??) et l on finit au Centro Sol, pas terrible mais central dans la vieille ville et pas cher.

20110929-103005.jpg
Direction le front de mer mais il n’incite pas à la baignade ; à notre grande suprise au final Cadiz n’est pas splendide, surtout venant de Grenade

20110929-103015.jpg

20110929-103021.jpg

20110929-103029.jpg

Après une bonne bière on part « trainer la savate » dans le centre, garés comme des cochons et là, patatra. Je me fais bousculer, les clés que j avais à la main tombent, je les rattrape à moitié avec mon pied avant qu elles ne disparaissent…dans une trappe d’égouts, oh rage oh désespoir!
Le double est à Paris, les papiers dans les coffres, fermés à clé, on est bien…

20110929-103035.jpg

20110929-103151.jpg

Après s’être fait aider au téléphone par une autochtone adorable, je rappelle la oficina pour qu’ils viennent nous ouvrir cette foutue grille, ben non, ils ne viendront pas, c est la crise. Pas de BM sur place, trop tard pour un envoi en Fedex ce soir du double depuis Paris on a tourné 2h pour rien…retour à l hôtel à pattes où on nous prête un tournevis et un ceintre. Après presque un heure de bataille j arrive à sortir les clés, miracle! Ben non, ce ne sont pas les miennes, incroyable…encore une bonne demi heure entourés de quelques badauds et au moment où on allait abandonner, le grâale, mon porte clés qui remonte au bout du ceintre…ouf, 3h de galère mais le voyage continue…

Ce contenu a été publié dans Non classé. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.