Nouvelles roues et disques pour l’@T

A la faveur d’une annonce sur mon fidèle compagnon leboncoin.fr, j’ai acquis une paire de jantes RD04 pour l’Africa, 80 000 km en état correct, un peu de rouille sur les rayons, cerclage un peu piqué mais rien de grave.
En revanche pas de disques et un amortisseur de couple manquant.

Roue avant route sans disque montée Anakee 2Amortisseurs de couple dans le moyeu de la roue AR

Après un petit tour chez Cardy, une commande de disques et de pneus TT Mitas E09 pour les virées pyrénéennes, je dispose de 2 jeux interchangeables un route et un TT, avec en prime des disques tout neufs un peu plus modernes sur le jeu route.

Disques Kyoto tout neufs

 

Y’a plus qu’à aller les étrainer dans les chemins Tarnais avant d’autres horizons plus lointains à l’automne 🙂

Roue avant route disque waveJeu de roues TT en Mitas E09

 

 

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Essai Mitas en balade près de Pujaudran

Les E09 sont enfin montés sur mon deuxieme jeu de roues, il est temps d’aller les essayer sur des terrains appropriés.

Grace au très bon site GPX View (http://www.gpx-view.com/) qui permet de repérer des traces de randonneurs/VTTistes/quadeurs un peu partout j’ai trouvé une ballade pas très loin, près de Pujaudran sur une trentaine de km, idéale pour tester pneus les pneus et le nouveau guidon.

A part sur la fin du parcours ou beaucoup de maisons se sont construites, le parcours est agréable, pas très technique plutôt roulant et on n’a pas trop l’impression de rouler chez les gens. Le début dans les herbes hautes, puis du sous bois un peu gras avant de rattrapper des chemins de terre qui vont d’un champ à un autre, pas de grande difficulté.

Les pneus se sont révélés excellents, à des années lumiere des E07 qu j avais au Maroc, surtout concernant l’avant qui accroche enfin un peu sur l angle (au lieu de se coucher !)

A refaire en duo probablement bientot

Une DS abandonnée là

La trace GPS du Parcours:

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Première Moto: Harley Gégé

En dépoussiérant le garage, j’ai retrouvé ma premiere moto: une magnifique Harley bleue de marque Gégé et électrique.

Les batteries sont HS, je peux pas leur en vouloir elles ont 32 ans…et je n’ai plus le chargeur mais je devrais pouvoir bricoler quelque chose avec des 6 volts de moto.

Le reste est en assez bon état, un peu piqué par la rouille mais sans plus, à bricoler donc dès que j’aurai un peu de temps.

 

Pas mal aussi avec un phare de série 5

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Baroud d’honneur en Chevreuse

Le peu de temps en ce début d’année et la météo pourrie à Paris n’ont pas poussé à la balade mais en ce premier jour de ma nouvelle vie je n’ai pas pu me priver de sortir la vieille pour quelques tours de roue.

L’occasion de se rappeler que ce moteur est quand même bluffant de couple et d’agrément pour son age…si ce n’était pas mon roulement arrière à l’agonie je pourrais rouler avec tous les jours!

La moto va bientôt descendre à Toulouse beach, c’était sans doute là ses derniers tours de roue Parisiens avant de s’en remettre à la SNCF pour le transport…grosse inquiétude.

 

La trace GPS du Parcours:

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Africa 2.0: le retour

Le vide laissé par la vente de la GS était trop profond, le chagrin trop grand, et puis il faut bien pouvoir se balader un peu.

J’ai donc dégoté pour mon anniversaire une nouvelle Africa, toute jeune puisque de 2000 seulement, 7 ans de moins que l’ancienne à un tarif raisonnable étant donné les mois à venir.

Côté couleur, ça n’est pas vraiment ce que je cherchais, c’est un peu la moto de François le français: bleu, blanc, rouge ! C’est la couleur que voulait le Pédro (désolé), j’aurais préféré un ensemble plus sobre, on verra pour un éventuel échange ou une peinture.

La moto est très saine et « seulement » 47 000km, j’ai l’impression de conduire un vélo par rapport à la GSA, c est sur ça change même si c’est loin d’être le confort de la GS on est plutôt bien installé, je trouve même que la planche à pain qui sert de selle est finalement tolérable.

La moto n’a pas grand chose en terme d’équipement, il y aura donc un peu de boulot pour pouvoir partir un peu loin, à commencer par un pignon de 17 pour limiter le régime et les vibrations sur les longs relais, des crash bars, un guidon, un pare brise haut, des durites, des suspensions, des cales pieds…bref un belle douille en perspective 😉

 

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GS Vendue

A mon grand regret la GS est désormais vendue…mais il faut savoir faire des choix. Malgré ses quelques défaut elle reste une machine exceptionnelle dans ses choix techniques, son agrément de conduite et n’en déplaise à ses détracteurs son caractère moteur dont la linéarité sert finalement son positionnement de grand trail routier.

A voir maintenant sur quoi je roulerai au prochain printemps, mais une Africa un peu mise au gout du jour pourrait être une bonne option.

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4×4 au Maroc

Une fois n’est pas coutume il s’agit ici de véhicule à 4 roues.

On a profité du weekend prolongé du 11 Novembre pour partir en virée à Marrakech, histoire de montrer à ma moitié de quoi il retournait lors de mes virées Brokeback Mountain sous la tente.

Avec un brin de préparation on a dégoté un Mitsubishi Pajero Sport (à défaut de Defender), une tente Queshua 3 places grand luxe, un tabouret et un seau (bleu!) en guise de 2ème assise. Une popote, 6 repas lyophilisés, un itinéraire GPS inspiré des étapes du sud du SWD 2010.

Au programme donc la route vers Foum Zguid en passant par Tazenakht puis la piste Foum Z’Guid Tagounite et une boucle remontant vers Zagora par l’itinéraire inverse de ce que j’avais fait en solo en 2009.

vue du Tichka le mauvais Pajero Sport

Le premier jour nous passons le Tizi n’ Tichka à 2200m avant de redescendre vers Ouarzazate et couper à Tazenakht, il faut frais mais beau, le 4×4 roule bien et on arrive rapidement à Foum z’guid en début d’aprèm. On s’engage sur la piste et rapidement un convoie avec une 640 adventure nous double à bonne allure.
Après quelques errements sur ce bout de piste qui secoue énormément, le bivouac est trouvé à une quarantaine de km de Foum Zguid en bordure d’un lit d’oued, il fait sec on devrait pas être inquiétés et en meme temps les lits d’oued je connais 🙂

Petit déj sur seau bleu

Après un bien beau feu et une bonne nuit nous nous reveillons de bonne heure pour ne pas échapper à la visite -comme d’hab en fait- d’un jeune autochtone qui habite un campement nomade et se rend à Foum Zguid tous les jours à pied…30 bornes quand meme…après avoir pris son numéro de portable (si si) nous l’abandonnons pour aller déjeuner avant d’attaquer le dur de la journée, le lac Iriki sur lequel Anne Laure nous fera une belle démo de conduite hors piste et la piste qui longe l’Erg Chegaga en s’avanturant un peu plus au sud qu’en moto grâce à notre belle ‘oiture. L’occasion aussi de se rendre compte que les amortisseurs arrieres commencent à pomper sérieusement malgré les 2 ans (et 70 000 km) seulement de la voiture.

Erg Chegaga

Nous déjeunons à l’abri d’une dune précisément là où le Pedro s’était enlisé l’an dernier, j’en rigole encore mais en repartant, merde, l’impression d’avoir le frein à main serré…enlisé, comme un bleu, sans pelle ni plaques, walouh. Après m’être un peu plus enfoncé, c’est le système D, on ramène des pierres et des branches pour consolider les passages des roues. La voiture est trop basse, impossible de dégonfler plus, on n’a pas vraiment droit à l’erreur si on ne veut pas passer la nuit à attendre un dépannage. Après 1h d’efforts et de désemsablage à la main et au seau (finalement utile ce seau bleu), dans un dernier élan cet affreux 4×4 se sort de son ornière pour nous amener jusqu’à Tagounite au ravitaillement.
Cap sur la piste de Merzouga mais au poste militaire, impossible de continuer vers Zguilma, il est trop tard on ne nous laisse pas passer, on va dormir au pied des montagnes, abrités du vent par un peu de végétation en tentant d’entretenir le feu avec un branche d’acacia coupée sur le vif (idiot en réalité car pleine d’eau à l’intérieur)

Déjeuner sous la dune Enlisé comme un bleu

Après une bonne nuit sous la tente, on rattrape la route de Zguilma et la boucle qui revient vers Zagora, le 4×4 rebondit sur chaque bosse, cette fois les amortos sont vraiment HS, on va etre bien pour rentrer. En se rapprochant de Zagora nous tombant sur un chantier impressionnant: un 4 voies visiblement qui se construit dans cette vallée, peut être entre Merzouga et Zagora? la fin de beaux itinéraires dans ces vallées préservées en perspective.

Un coup de karcher à Zagora et on attaque le long retour vers Marrakech où nous arrivons à la nuit tombée, le lendemain la proprio du 4×4 nous fait un scandale et menace de nous faire payer les 4 amortos, ben voyons, mais bien aidés par notre hôte on s’en sortira sans être inquiétés…en attendant de remettra ça dans un véhicule plus approprié car l’expérience nous a tous les 2 vraiment plu, le côté aventure de la moto moins présent en 4×4 étant compensé par le « partage » de la route et le confort 4 etoiles d’un coffre qui contient tout ce dont on peut manquer en 2 roues….

 

 

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GS à vendre !

La décision ne fut pas facile à prendre mais elle est sur le boncoin après 11.000km de bons et loyaux services ces 6 derniers mois…

http://www.leboncoin.fr/motos/244878644.htm?ca=12_s

A bon entendeur.

digne d'un tableau non?

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Andalucia: Parcours et Film

Après quelques heures de montage acharné, le petit film du voyage est enfin dispo:

La trace GPS du Parcours:

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Andalucia J9 (612km)

La nuit fut fraiche au bord du lac de Jadraque et tant mieux pour le jambon 🙂

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Après un petit Nespresso en poudre au coin du feu on reprend la route vers Barbastro plus à l est pour rejoindre le tunnel de Vielha, ouvert lui.
On traverse de vastes pleines jaunies, c est toujours très sec et chau mais la route est agréable, les paysages deviennent plus désertiques à mesure qu on avance.
Pause café à Almazan ou nous profitons d’un concert improbable avec 100 000 watts plein ballon sur la place du village.

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Après 2 échecs pour trouver un restau correct (terrasses crado et 0 service), on termine à Ejeas de los Caballos pour une Daurade à la plancha et une morue con patatas, apres avoir croisé une procession d anciennes à 2 et 4 roues excellent.
On pique vers Huesca puis Barbastro, on oublie donc la route de Mediano pour la nuit. Il n est que 17h à Barbastro on s apprête à attaquer les Pyrénées pour bivouaquer et lors que l on charge la dernière étape le GPS nous indique un peu plus de 3h…hmmm dilemne, même si c est 4h on peut être à la maison pour 21h si l on ne trouve pas de bivouac.
Après 1h de route à allure soutenue, l évidence s impose, ça caille dur, on est en surplomb de la vallée il sera compliqué de dormir là et on ne va pas faire un hotel à 160km de la maison: gaz jusqu à Toulouse. On enchaine la tunnel après Vielha dans le virolos, un gars en 307 manque mourir en faisant l exter à un bus devant nous et on se retrouve coté français.

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100 bornes d’ autoroute plus tard avec notre ami Wikango et il est temps de se quitter, contrat rempli avec un autre super voyage, moins baroude mais aussi plaisant, viva Espana !
Il n y a plus maintenant qu’à prévoir le prochain!

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